♪«I believe in a thing call love »
Surnom :
Bleh!
Sexe :
Femme
Situation :
Tellement
célibataire que j’ai deux chiens
Cherche :
Homme
Pour : 1. Relation à long terme ;
2. À peu près n’importe
quoi qui pourrait peut-être ressembler à l’amour;
3. Une relation sexuelle
le premier soir avec quelqu’un qui ne me rappellera jamais mais qui me
permettra de me plaindre sur mon blog;
4. Quelqu’un pour faire
des bébés rapidement parce que j’aurai 30 ans dans trois mois.
Intérêts :
Diversifiés?!
Occupation :
Comptable, blogueuse et reine du pas grand-chose.
Mon
idéal masculin : N’existe visiblement pas.
Qualités :
Je suis tellement drôle que le gens se pissent dessus en ma présence, je suis
tellement optimiste que ça m’effraie un peu et j’aime tellement la vie
que je ne prends plus d’antidépresseurs.
Défauts :
J’ai tendance à surestimer mon sens de l’humour, mon ex habite dans ma rue et
je crois encore que le fucking prince charmant se cache dans le rayon des
fromages à l’épicerie.
La
première chose que les gens remarquent lorsqu’ils me rencontrent pour la
première fois : Mon intelligence, du moins c’est
ce que j’aime penser, ça me rassure un peu en fait. Sinon, je dirais mon
magnétisme sexuel désarmant, ou mes mollets, c’est selon.
Une
personne influente dans ma vie et pourquoi : Un
professeur de français au secondaire qui m’a dit que mon style d’écriture était
particulier et digne d’intérêt.
Maintenant, je suis comptable (mon professeur de mathématique ne m’a pourtant jamais
complimenté), j’ai peine à terminer mon premier roman et je tiens un blog qui
consiste principalement à déplorer mes déceptions amoureuses qui se multiplient.
Je
passe la majorité du temps à penser : Oui.
Un
peu plus sur moi : Je suis tellement old-school que ma carte de guichet n’a
pas de puce (et je suis tellement geek
que je prends la peine de mentionner ça ici!)
Une
chose personnelle que j’ai le courage d’admettre ici :
Je me ronge les ongles d’orteil et je parle à ma mère tous les jours.
Tu
devrais m’écrire si : Tu n’as pas peur de me décevoir,
parce que, honnêtement, ça risque d’arriver…